Gardienne du temps, elle se dresse devant nous pour montrer le chemin.
Portes lourdes, lumière blafarde, l’entree dans ce lieu fait remonter les âges.
Figé, disparu, ce parfum d’autrefois nous enveloppe tout comme ce silence mystique.
L’imagination s’emballe à la lecture des noms de chevaliers formant les 405 cénotaphes au sol.
Ailes de lumière, tel un phoenix je renais :